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Thibaut Duval, étudiant français et bénévole
au Club
International des Jeunes à Paris

Thibaut Duval, 23 ans, étudiant en BTS Optique et Métrique.

 

« Les activités du Club sont vraiment variées et différenciées. À chaque fois, il y a de nouvelles propositions et des activités qui sortent de l’ordinaire ».

Thibaut est originaire de Bourges, une petite ville de la région Centre, à 231 km de Paris. Il y a deux ans, il est venu à Paris poursuivre ses études puisque toutes les écoles en optique proposent des formations dans la capitale. Puis le destin lui a fait retrouver le Club par hasard et depuis ce jour-là, il partage avec d’autres étudiants sont intérêt pour la vie culturelle.

Quelles sont tes impressions de Paris ?

Paris est une très belle ville. Elle est parfaite et j’ai vraiment l’intention d’y rester. Mais la vie n’est pas si facile pour s’y installer et j’ai dû travailler pendant les étés afin de financer mes préparatifs pour mon séjour à Paris. Il faut vraiment prévoir à l’avance parce que c’est une ville très chère et très demandée par les étudiants.

Crois-tu que tu es arrivé à bien connaître la ville ?

Paris est une ville internationale et cosmopolite et donc, il faut plus d’un an pour bien la connaître. Il y a plein des choses nouvelles à faire et au fur et à mesure que le temps passe, il y a d’autres propositions de divertissement qui apparaissent sur le terrain. J’essaie d’assister aux manifestations culturelles comme la danse classique et les expositions d’art temporaires. En fait, j’aime bien sortir et quand je ne travaille pas, je sors avec le Club.

Comment as-tu connu le Club International et quelle était ta motivation pour y faire partie ?

J’habite juste à coté du bureau du CIJP et j’ai vu l’affiche avec ses sorties culturelles. Je suis entré pour des renseignements et tout de suite, je me suis offert comme bénévole car les sorties avaient l’air amusantes et intéressantes. J’aime bien sortir et découvrir d’autres cultures. Par ailleurs, j’étais habitué à sortir avec le même groupe d’amis français et je voulais élargir mon cercle d’amis. Il y a beaucoup de français inscrits à l’association et cela m’a permit de nouer de fortes amitiés avec eux mais aussi avec des membres étrangers.

 



Que penses-tu des étrangers au Club ? 

Ce sont la compagnie parfaite pour découvrir de nouvelles choses. Il y a des gens très motivés, très curieux et ouverts pour participer à de nouvelles expériences et le tout, sans aucun préjugé. J’ai aussi remarqué que les étrangers participant aux activités ont un bon niveau de français et c’est bien pour communiquer et mieux connaître les autres.

Est-ce qu’il y a quelque chose qui t’a surpris des étrangers ?

À dire vrai, les russes et les américaines me demandent toujours pourquoi je fais du bénévolat alors que je ne suis même pas payé. Elles ne comprennent vraiment le sens du bénévolat mais je suis juste ravi d’être bénévole (il sourit).

Qu’est-ce que tu penses des activités du Club ?

Les activités du Club sont vraiment variées et différenciées. À chaque fois, il y a de nouvelles propositions et des activités qui sortent de l’ordinaire. Je suis allé aux bals parce que j’aime beacoup danser, aux musées, aux cafés, aux restaurants et aux soirées découverte.

C’est fascinant de découvrir une nouvelle culture avec les soirées internationales. En plus, comme il s’agit d’un étranger qui présente son propre pays, on peut dire qu’on a l’impression de découvrir le pays à travers les yeux d’un natif. D’autre part, le fait de rencontrer des étrangers me permet aussi de connaître d’autres pays sans avoir besoin de sortir de l’Hexagone. On peut dire qu’on voyage gratuitement grâce à eux.

Enfin, qu’est-ce que tu conseillerais aux jeunes étudiants qui passent par Paris ?

Je les conseillerais de s’inscrire au Club pour rencontrer d’autres personnes. Il faut que vous sortiez de vos cercles d’amis, en particulier ces étudiants qui restent qu’avec des étudiants provenant du même pays ou ayant la même culture. Pour mieux connaître la France et aller au-delà des lieux et des clichés touristiques, il faut venir au Club.

 


Propos recueillis par Paloma Zavala

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